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Iris Sara Schiller
Titre : Iris Sara Schiller : une fille est une fille est une fille d'une fille ; [exposition, Antibes, Musée Picasso, 25 octobre 2003-25 janvier 2004] Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Louis Andral, Auteur ; Marie-Laure Bernadac, Auteur ; Musée Picasso, Auteur Editeur : Paris : Hazan Année de publication : 2003 Importance : 93 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85025-913-5 Prix : 20 € Note générale : Biogr. Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Schiller, Iris S. Résumé : «Loin de quêter ou de revendiquer l'autonomie, l'oeuvre d'art telle que l'envisage Iris Sara Schiller résulte ainsi d'un refus de la gratuité et du formalisme. Si l'unité minimaliste qui semble régler dessins ou pièces tridimensionnelles renvoie ici à une histoire, ce n'est pas à celle de l'objectivité mais bien à celle du mythos, ostensiblement tournée contre le logos et dont la réquisition indique que le travail produit n'a pour fin ni de rationaliser l'être des choses, ni de les produire comme purs objets spectaculaires.»
Paul Ardenne
«Chez Iris Sara Schiller, on ne peut pas se contenter des aspects sensuels des matériaux ou de la dynamique évidente du faire, car l'oeuvre n'aurait de ce fait qu'une valeur esthétique ou fonctionnelle. Le matériau, plâtre, résine ou graphite, n'est pas une chose sans forme qu'il s'agirait de former. Nous l'avons déjà constaté, tout a déjà eu sa forme dans ce monde. L'atout de cette oeuvre réside dans sa faculté de vision, dans le champs d'action d'Éros, dans l'aura d'énergie qui détermine les objets et dans l'âme qui les anime.»
Ami Barak
«Il est naturel que l'oeuvre d'Iris Sara Schiller, face à l'ambivalence de ce qu'elle représente symboliquement et de ce qu'elle est physiquement, développe des structures géométriques et des formes organiques en même temps. Qu'elle conçoive les constructions sculpturales en des termes fondamentalement graphiques et vice-versa. Rien qui montre un «accident» ou un «automatisme» mais, au contraire, rien que la vérité des images de son expérience personnelle, où se rejoignent rigueur et autobiographie, retenue et drame, construction et fantaisie, tension et fluidité poétique.»
Sheila Leirner «La vertu de l'oeuvre d'Iris Sara Schiller est de se tenir à distance aussi bien de la célébration que du dénigrement, et de rendre la grâce à ces corps fragmentaires qu'elle dévalue dans un seul et même geste. Nous naissons inter urinam et faeces, semble-t-elle nous rappeler, et le mystère est au coeur de l'indignité.»
Didier Semin
«En dernière instance, il faut mentionner combien chez Iris Sara Schiller l'épuration des formes s'effectue en vue d'une seule finalité: la lisibilité des matériaux sous un aspect simple et universel. Le caractère prototypal de ces créations semble aller vers une plus grande lisibilité des phénomènes qu'elles représentent.»Intitulé de l'exposition : Iris Sara Schiller : une fille est une fille est une fille d'une fille Date de début : 25/10/2003 Date de fin : 25/01/2004 Ville : Antibes (France) Lieu de l'exposition : Musée Picasso Permalink : https://grandhornu.docressources.org/index.php?lvl=notice_display&id=9746 Iris Sara Schiller : une fille est une fille est une fille d'une fille ; [exposition, Antibes, Musée Picasso, 25 octobre 2003-25 janvier 2004] [texte imprimé] / Jean-Louis Andral, Auteur ; Marie-Laure Bernadac, Auteur ; Musée Picasso, Auteur . - Paris : Hazan, 2003 . - 93 p.
ISBN : 978-2-85025-913-5 : 20 €
Biogr.
Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Schiller, Iris S. Résumé : «Loin de quêter ou de revendiquer l'autonomie, l'oeuvre d'art telle que l'envisage Iris Sara Schiller résulte ainsi d'un refus de la gratuité et du formalisme. Si l'unité minimaliste qui semble régler dessins ou pièces tridimensionnelles renvoie ici à une histoire, ce n'est pas à celle de l'objectivité mais bien à celle du mythos, ostensiblement tournée contre le logos et dont la réquisition indique que le travail produit n'a pour fin ni de rationaliser l'être des choses, ni de les produire comme purs objets spectaculaires.»
Paul Ardenne
«Chez Iris Sara Schiller, on ne peut pas se contenter des aspects sensuels des matériaux ou de la dynamique évidente du faire, car l'oeuvre n'aurait de ce fait qu'une valeur esthétique ou fonctionnelle. Le matériau, plâtre, résine ou graphite, n'est pas une chose sans forme qu'il s'agirait de former. Nous l'avons déjà constaté, tout a déjà eu sa forme dans ce monde. L'atout de cette oeuvre réside dans sa faculté de vision, dans le champs d'action d'Éros, dans l'aura d'énergie qui détermine les objets et dans l'âme qui les anime.»
Ami Barak
«Il est naturel que l'oeuvre d'Iris Sara Schiller, face à l'ambivalence de ce qu'elle représente symboliquement et de ce qu'elle est physiquement, développe des structures géométriques et des formes organiques en même temps. Qu'elle conçoive les constructions sculpturales en des termes fondamentalement graphiques et vice-versa. Rien qui montre un «accident» ou un «automatisme» mais, au contraire, rien que la vérité des images de son expérience personnelle, où se rejoignent rigueur et autobiographie, retenue et drame, construction et fantaisie, tension et fluidité poétique.»
Sheila Leirner «La vertu de l'oeuvre d'Iris Sara Schiller est de se tenir à distance aussi bien de la célébration que du dénigrement, et de rendre la grâce à ces corps fragmentaires qu'elle dévalue dans un seul et même geste. Nous naissons inter urinam et faeces, semble-t-elle nous rappeler, et le mystère est au coeur de l'indignité.»
Didier Semin
«En dernière instance, il faut mentionner combien chez Iris Sara Schiller l'épuration des formes s'effectue en vue d'une seule finalité: la lisibilité des matériaux sous un aspect simple et universel. Le caractère prototypal de ces créations semble aller vers une plus grande lisibilité des phénomènes qu'elles représentent.»Intitulé de l'exposition : Iris Sara Schiller : une fille est une fille est une fille d'une fille Date de début : 25/10/2003 Date de fin : 25/01/2004 Ville : Antibes (France) Lieu de l'exposition : Musée Picasso Permalink : https://grandhornu.docressources.org/index.php?lvl=notice_display&id=9746 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Classement thématique G001608 SCHI EXPO2003 ANTI EXPO Catalogue d'exposition LA - Libre accès IND - Individualités Disponible Nicolas de Staël / Musée Picasso
Titre : Nicolas de Staël : un automne, un hiver Type de document : texte imprimé Auteurs : Musée Picasso, Auteur Editeur : Paris : Hazan Année de publication : 2005 Importance : 151 p. Présentation : ill. en noir et en coul. Format : 27 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7541-0028-8 Langues : Français (fre) Catégories : Staël, Nicolas de Résumé : Lorsque Nicolas de Staël arrive à l'automne 1954 à Antibes, il est âgé de juste 40 ans. Il peint depuis une vingtaine d'années mais c'est en 1942 que commence, selon lui, réellement son œuvre. Celle-ci court donc alors sur douze années et elle se prolongera encore un automne, un hiver. Un ensemble complexe de raisons le pousse à quitter Paris, raisons personnelles et raisons artistiques étroitement liées. Il cherche un atelier à Mougins, Cannes ou Grasse et c'est finalement dans une maison sur les remparts d'Antibes, à deux pas du musée Picasso qu'il installe son atelier. Pendant les 5 mois qui lui restent à vivre, il va peindre 147 tableaux et un grand nombre d'œuvres sur papier. Cinquante ans après sa mort et l'exposition qui lui fut consacrée juste après, le musée Picasso a rassemblé un ensemble important et représentatif de cette production issu de collections publiques et privées pour rendre hommage à cet artiste d'exception.
Note de contenu : Biogr.
Bibliogr.
Index des oeuvres : p. 118Intitulé de l'exposition : Nicolas de Staël, un automne, un hiver Date de début : 02/07/2005 Date de fin : 16/10/2005 Ville : Antibes Lieu de l'exposition : Musée Picasso Permalink : https://grandhornu.docressources.org/index.php?lvl=notice_display&id=5253 Nicolas de Staël : un automne, un hiver [texte imprimé] / Musée Picasso, Auteur . - Paris : Hazan, 2005 . - 151 p. : ill. en noir et en coul. ; 27 cm.
ISBN : 2-7541-0028-8
Langues : Français (fre)
Catégories : Staël, Nicolas de Résumé : Lorsque Nicolas de Staël arrive à l'automne 1954 à Antibes, il est âgé de juste 40 ans. Il peint depuis une vingtaine d'années mais c'est en 1942 que commence, selon lui, réellement son œuvre. Celle-ci court donc alors sur douze années et elle se prolongera encore un automne, un hiver. Un ensemble complexe de raisons le pousse à quitter Paris, raisons personnelles et raisons artistiques étroitement liées. Il cherche un atelier à Mougins, Cannes ou Grasse et c'est finalement dans une maison sur les remparts d'Antibes, à deux pas du musée Picasso qu'il installe son atelier. Pendant les 5 mois qui lui restent à vivre, il va peindre 147 tableaux et un grand nombre d'œuvres sur papier. Cinquante ans après sa mort et l'exposition qui lui fut consacrée juste après, le musée Picasso a rassemblé un ensemble important et représentatif de cette production issu de collections publiques et privées pour rendre hommage à cet artiste d'exception.
Note de contenu : Biogr.
Bibliogr.
Index des oeuvres : p. 118Intitulé de l'exposition : Nicolas de Staël, un automne, un hiver Date de début : 02/07/2005 Date de fin : 16/10/2005 Ville : Antibes Lieu de l'exposition : Musée Picasso Permalink : https://grandhornu.docressources.org/index.php?lvl=notice_display&id=5253 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Classement thématique M003016 STAE EXPO2005 ANTI EXPO Catalogue d'exposition LA - Libre accès IND - Individualités Disponible Picasso-Dora Maar / Anne Baldassari
Titre : Picasso-Dora Maar : il faisait tellement noir Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Baldassari (1955-....), Auteur ; Réunion des musées nationaux, Auteur ; National gallery of Victoria, Auteur ; Musée Picasso, Auteur Editeur : Paris : Flammarion Année de publication : impr. 2006 Importance : 1 vol. (317 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. Format : 28 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-08-011582-0 Langues : Français (fre) Catégories : Maar, Dora , Picasso, Pablo Résumé : Dora Markovitch, dite Dora Maar, célèbre photo-reporter et photo-monteuse surrØaliste, fascina Picasso. La légende qu'ils inventent à deux mains, depuis l'automne de leur rencontre en 1935, est au centre de l'exposition consacrée pour la première fois au sujet par le musée national Picasso. A travers les photographies que Dora prend de Picasso ou de ses uvres en cours d'exécution, comme des dessins, peintures, sculptures et poèmes que Picasso dédie à Dora, c'est de l'histoire d'une décennie tragique allant de Guernica (1937), à L'Aubade (1942) et au Charnier (1945), que cette exposition et ce catalogue veulent rendre compte. Portant le masque de Minotaure, Picasso confère successivement à Dora les figures de la Sphinge, de la Femme qui pleure, suppliante, ou de la mort elle-même, tandis qu'elle sera son témoin. Note de contenu : Bibliogr. p. 313-317 Intitulé de l'exposition : Picasso-Dora Maar: il faisait tellement noir Date de début : 14/02/2006 Date de fin : 08/10/2006 Ville : Paris / Melbourne Lieu de l'exposition : Musée Picasso / National Gallery of Victoria Permalink : https://grandhornu.docressources.org/index.php?lvl=notice_display&id=4689 Picasso-Dora Maar : il faisait tellement noir [texte imprimé] / Anne Baldassari (1955-....), Auteur ; Réunion des musées nationaux, Auteur ; National gallery of Victoria, Auteur ; Musée Picasso, Auteur . - Paris : Flammarion, impr. 2006 . - 1 vol. (317 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. ; 28 cm.
ISBN : 2-08-011582-0
Langues : Français (fre)
Catégories : Maar, Dora , Picasso, Pablo Résumé : Dora Markovitch, dite Dora Maar, célèbre photo-reporter et photo-monteuse surrØaliste, fascina Picasso. La légende qu'ils inventent à deux mains, depuis l'automne de leur rencontre en 1935, est au centre de l'exposition consacrée pour la première fois au sujet par le musée national Picasso. A travers les photographies que Dora prend de Picasso ou de ses uvres en cours d'exécution, comme des dessins, peintures, sculptures et poèmes que Picasso dédie à Dora, c'est de l'histoire d'une décennie tragique allant de Guernica (1937), à L'Aubade (1942) et au Charnier (1945), que cette exposition et ce catalogue veulent rendre compte. Portant le masque de Minotaure, Picasso confère successivement à Dora les figures de la Sphinge, de la Femme qui pleure, suppliante, ou de la mort elle-même, tandis qu'elle sera son témoin. Note de contenu : Bibliogr. p. 313-317 Intitulé de l'exposition : Picasso-Dora Maar: il faisait tellement noir Date de début : 14/02/2006 Date de fin : 08/10/2006 Ville : Paris / Melbourne Lieu de l'exposition : Musée Picasso / National Gallery of Victoria Permalink : https://grandhornu.docressources.org/index.php?lvl=notice_display&id=4689 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Classement thématique M002601 PICA EXPO2006 PARI EXPO Catalogue d'exposition LA - Libre accès IND - Individualités Disponible