Titre : |
Armes blanches pour nuits noires : De la lame à l’incise de la chair |
Type de document : |
texte imprimé |
Editeur : |
Bruxelles : ISELP |
Année de publication : |
2012 |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-87373-031-4 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Abramovic, Marina , Aires, Carlos , Angenot, Eric , Case Charley , Copers, Leo , Corps , Landau, Sigalit , Mutlu, Selçuk , Pane, Gina , Saudek, Jan , Serrano, Andrès , Violence , Witkin, Joel Peter
|
Résumé : |
Marina Abramovic (RS), Carlos Aires (ES), Éric Angenot (BE), Tatiana et Pierre-Yves Bohm (FR), Giuseppina Caci (BE), Charley Case (BE), Mariel Clayton (US), Leo Copers (BE), Eduard Hermans (NL), Sigalit Landau (IL), Selçuk Mutlu (BE), Erwin Olaf (NL), Gina Pane (FR), Marc Riboud (FR), Rémy Russotto (BE), Jan Saudek (CZ), Andres Serrano (US), Joël Peter Witkin (US)
Par le biais de différents médiums (photographie, dessin, vidéo, installation, performance…) dix-neuf artistes belges et internationaux déclinent l’arme blanche pour en dévoiler ses dérives symboliques.
Les œuvres présentées dans cette exposition questionnent directement notre société aiguisée par les multiples images de violence et confrontée à la vulnérabilité du corps souvent mis à mal.
Le couteau et sa nécessité interviennent depuis la nuit des temps dans toutes les cultures et à toutes les époques. Son tranchant interpelle et se retrouve au centre des préoccupations de l’art contemporain. L’allusion à la force et à la puissance expliquent son importance dans l’imaginaire humain et sa présence dans la création actuelle.
Déclinée sans pudeur, entre fiction et réalité, la lame est utilisée comme représentation du mythe du pouvoir ou encore comme point de liaison entre l’amour, la vie et la mort. L’objet du quotidien aux multiples usages devient symbole de violence et de meurtrissure. Par un jeu imprudent, sa trace peut devenir indélébile. C’est ici qu’elle dérange. Sa pointe acérée est évocatrice d’une quantité d’images marquantes comme l’incision, la mutilation, ou encore l’allusion au sexe masculin par sa forme profilée.
Parfois, le couteau se détourne du macabre. Certains plasticiens le dédramatisent, lui donnent une charge physique, émotionnelle, romantique ou érotique, enchaînant la douleur au sublime et le sordide à la grâce.
Parallèlement, une sélection de couteaux ethnographiques appuie ces thématiques en insistant particulièrement sur la dimension rituelle qui ajoute une fonction spirituelle plus méconnue dans nos régions mais bien ancrée dans d’autres civilisations. Tandis que le 7ème art et le documentaire se voient représentés pour donner un écho sous d’autres formes et appuyer la pertinence du propos.
En collaboration avec Ben Durant, curateur indépendant |
Intitulé de l'exposition : |
Armes blanches pour nuits noires : de la lame à l'incise de la chair |
Date de début : |
03/05/2012 |
Date de fin : |
07/07/2012 |
Ville : |
Bruxelles (Belgique) |
Lieu de l'exposition : |
Iselp |
Permalink : |
https://grandhornu.docressources.org/index.php?lvl=notice_display&id=7956 |
Armes blanches pour nuits noires : De la lame à l’incise de la chair [texte imprimé] . - Bruxelles : ISELP, 2012. ISBN : 978-2-87373-031-4 Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Abramovic, Marina , Aires, Carlos , Angenot, Eric , Case Charley , Copers, Leo , Corps , Landau, Sigalit , Mutlu, Selçuk , Pane, Gina , Saudek, Jan , Serrano, Andrès , Violence , Witkin, Joel Peter
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Résumé : |
Marina Abramovic (RS), Carlos Aires (ES), Éric Angenot (BE), Tatiana et Pierre-Yves Bohm (FR), Giuseppina Caci (BE), Charley Case (BE), Mariel Clayton (US), Leo Copers (BE), Eduard Hermans (NL), Sigalit Landau (IL), Selçuk Mutlu (BE), Erwin Olaf (NL), Gina Pane (FR), Marc Riboud (FR), Rémy Russotto (BE), Jan Saudek (CZ), Andres Serrano (US), Joël Peter Witkin (US)
Par le biais de différents médiums (photographie, dessin, vidéo, installation, performance…) dix-neuf artistes belges et internationaux déclinent l’arme blanche pour en dévoiler ses dérives symboliques.
Les œuvres présentées dans cette exposition questionnent directement notre société aiguisée par les multiples images de violence et confrontée à la vulnérabilité du corps souvent mis à mal.
Le couteau et sa nécessité interviennent depuis la nuit des temps dans toutes les cultures et à toutes les époques. Son tranchant interpelle et se retrouve au centre des préoccupations de l’art contemporain. L’allusion à la force et à la puissance expliquent son importance dans l’imaginaire humain et sa présence dans la création actuelle.
Déclinée sans pudeur, entre fiction et réalité, la lame est utilisée comme représentation du mythe du pouvoir ou encore comme point de liaison entre l’amour, la vie et la mort. L’objet du quotidien aux multiples usages devient symbole de violence et de meurtrissure. Par un jeu imprudent, sa trace peut devenir indélébile. C’est ici qu’elle dérange. Sa pointe acérée est évocatrice d’une quantité d’images marquantes comme l’incision, la mutilation, ou encore l’allusion au sexe masculin par sa forme profilée.
Parfois, le couteau se détourne du macabre. Certains plasticiens le dédramatisent, lui donnent une charge physique, émotionnelle, romantique ou érotique, enchaînant la douleur au sublime et le sordide à la grâce.
Parallèlement, une sélection de couteaux ethnographiques appuie ces thématiques en insistant particulièrement sur la dimension rituelle qui ajoute une fonction spirituelle plus méconnue dans nos régions mais bien ancrée dans d’autres civilisations. Tandis que le 7ème art et le documentaire se voient représentés pour donner un écho sous d’autres formes et appuyer la pertinence du propos.
En collaboration avec Ben Durant, curateur indépendant |
Intitulé de l'exposition : |
Armes blanches pour nuits noires : de la lame à l'incise de la chair |
Date de début : |
03/05/2012 |
Date de fin : |
07/07/2012 |
Ville : |
Bruxelles (Belgique) |
Lieu de l'exposition : |
Iselp |
Permalink : |
https://grandhornu.docressources.org/index.php?lvl=notice_display&id=7956 |
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